Ils ont tant en commun, à commencer par un talent certain pour la singularité. Si Sébastien Tellier et Philippe Katerine n'amènent pas nécessairement leur public vers les mêmes rivages, ils jouent clairement “la même mélodie”. Associer ces deux maîtres dans la subtile pratique du décalage, profondément poètes et têtes de pont de la pop à la française constitue, pour le Printemps, une manière de saluer leur empreinte commune.