Les mouvements anticapitalistes ont-ils tendance à exclure l'oppression animale d'une vision globale de la domination ? La cruauté qui s'exerce à l'encontre des animaux est-elle reléguée au rang d'enjeu secondaire ? Pourtant, le capitalisme détruit tout autant les humains, les animaux et les écosystèmes. Alors, l'amélioration du sort des animaux ne doit-elle pas s'articuler à des mouvements sociaux et politiques ?